[Euro185] Longue vie au Roy Calydan !

de Saint Aignan · 27/09/2014 21:43:50

Départ en Morée dans le labyrinthe grec. Mon seul espoir de couronne est à rechercher vers les grands espaces du Nord. Donc ma priorité sera d’aller … au sud, pour verrouiller mes arrières. Je vise la Crète pour bloquer l’africain Earel (Ad’Diffah) et être sûr qu’il continuera son chemin en Afrique et non dans les balkans. L’espace d’un instant, j’entrevois une coopération avec mon voisin Marius (Lydia) pour que nous remontions de concert plein nord. Las ! Il a l’orthographe la plus déplorable que j’aie jamais rencontrée. Je lui déclare la guerre d’emblée. Je négocie avec mes voisins au nord pour me « réserver » quelques terres que je ne peux saisir en raison de mon départ plein sud.

Phase I : Démarrage (T1-T4)
Mon début de campagne se déroule bien : Marius est repoussé et Earel est occupé ailleurs. Je fonde une alliance avec les deux seigneurs de l’Est : Eulenspiegel le roumain et au dessus Azildur le Biélorusse. Le concept est que, avec le dos à la carte, si nous poussons tous les trois vers l’ouest, nous serons irrésistibles. Les cibles indirectes : Alzgard le Slovène dont je redoute les machiavéliques talents et Bricelia von Ophtéone l’italienne, dont la réputation n’est plus à faire.

Mais je garde un oeil inquiet sur Epirus et Serbia que j’ai négociées et que je ne peux sécuriser rapidement (lenteurs et risque de fléonies). Contre toute attente, au 4e tour, je possède quasiment toute la Grèce et j’entame avec la Serbie (en pointe au nord de mes terres) un centre de recrutement.

Phase II : on accélère (T5-12)
Maintenant que j’ai un fief solide, le moment est venu de passer à la vitesse supérieure. Alors que mes chevaliers se déplaçaient bien à l’intérieur de mes terres pour n’alarmer personne, je concentre d’un coup mes forces en Epirus et je déclare la guerre à Bricélia pour un assaut en force vers la botte. Imparable.
Bon à un détail près : j’ai déclaré la guerre à tous mes alliés !! Félonie multiple !!!!!!
Mon chevalier seigneur tombe à 20, je perds tous mes chevaliers (sauf trois ou quatre qui sont en dessous de 25). Seule compensation : mon trésor est intact ainsi que mes forces que, par habitude, j’ai placées sous commandement d’un chevalier à 22.

Intense campagne diplomatique pour essayer de réparer les dégâts et éviter bien sûr que les loups ne se jettent sur moi. Au Sud, Menelik (qui a remplacé Earel) est très correct et signe la paix sans broncher. A l’ouest, Bricelia qui n’est pas franchement dupe sur ma concentration de chevaliers (qui ont disparu en fin de tour) fait semblant de croire à mon innocence et, sans doute parce qu’elle a des projets ailleurs, accepte de faire la paix. Au nord, par contre, mon bon allié Eulenspiegel n’a pas de scrupules : il maintient la guerre et cherche à profiter de l’occasion.

Je subis donc douloureusement, lançant de maigres attaques avec mes chevaliers à 20 histoire de faire diversion, le temps de laisser passer une joute royale (T10), organiser une méga joute pour requinquer mon chevalier-seigneur (je bondis à 390)(T11), recruter des chevaliers corrects (T12) avant de pouvoir enfin contre attaquer (T13 et au delà…).

Phase III : la renaissance T13-T20

A compter de là, je reprends du poil de la bête et contre-attaque Eulenspiegel. Il omet de protéger mon ancien centre de recrutement (Serbie). Puis il a un passage à vide où il ne semble plus combatif. Je me refais une santé et récupère province après province. Je remonte tout doucement vers le nord.

C’est à ce moment qu’Alzgard refait une apparition en direction de mes frontières (il avait été repoussé loin au nord par Eulenspiegel quelques saisons auparavant). Sa renommée basse, le fait qu’il ne soit pas mon allié et son silence le classent résolument dans la catégorie « hostiles ». Je lui déclare la guerre.

Dans la foulée, je vois qu’il entremêle ses troupes avec celles de Duncan le Polonais (qui a remplacé Azildur). Il caracole en tête du classement depuis quelques temps mais son armée est à portée de tir (20 000 h contre mes 12 à 15 000). Jouable. Pour éviter d’être ralenti, je lui déclare la guerre également.

Sur le front diplomatique, ,je fais le siège de Menelik (le Lybien) pour qu’il signe en priorité chaque tour son alliance avec moi plutôt qu’avec Bricelia von Ophteone. A plusieurs reprises, il y voit le signe que je souhaite attaquer l’italienne. Sincèrement, c’est parce que je m’attendais à tout instant à une déclaration de guerre de sa part : je n’aurait pu lutter sur deux fronts. C’est d’ailleurs un grand étonnement que cette campagne se termine en paix avec elle.

Je conseille également Nino (Ligue Hanséatique) qui a connu une banqueroute le privant de tous ses hommes. Je redoute qu’il se décourage. Or j’ai besoin de lui pour prendre à revers Duncan.

Enfin, j’ai des contacts réguliers avec Calydan (France) qui flirte depuis un moment avec le nombre de terres requis pour la victoire. Tout le monde cherche à le combattre. Compte tenu de mon équilibre encore fragile, je mise au contraire sur sa victoire pour figer les gains inespérés de mon redressement. Il me décevra cependant sur une opération immobilière ratée (vente d’une terre que j’ai en Angleterre).

En attendant, puissamment soutenu par mon centre de recrutement, c’est ainsi que je parviens à repousser mes frontières doucement mais sûrement vers le nord. Le Danube est franchi (T19) et je finis sur deux batailles moyennes où je défais les dernières forces de Duncan sur son front sud (5000h et 2000h) (T20).

Calydan est roi (félicitations au Roy).

Je suis cinquième. Sans doute une des campagnes les plus désespérées que j’ai menées : ce résultat est donc pour moi un très beau trophée.

Cette campagne se termine avec deux enseignements à la clef :

Il ne faut jamais abandonner même si l’on croit que tout est perdu
Un Saint Aignan n’abandonne jamais.

Wilhelm Von Hassengart · 27/09/2014 22:53:15

Pour ma part, je finis plutôt en bas de classement.
Cela n'empêche que j'aie apprécié cette campagne avec cet infernal voisin de Spikelor qui a mis ma vie à rude épreuve.

Je débute au sud-ouest dans les terres arides d'Afrique du Nord (Zirid si je m'en rappelle bien). Le début semble assez prometteur : Spikelor à l'ouest me contacte pour signer une alliance, ainsi qu'un partage des terres. Peu après, je suis en contacte avec Alphonse pour en faire de même et nous nous mettons d'accord pour attaquer Skarn qui se trouve au peu plus au nord-est en Espagne.

Skarn réussit néanmoins à s'étendre très efficacement, trop efficacement... Qu'il s'agisse de la vraie raison où s'ils l'avaient décidé déjà avant, Alphonse et Spikelor retournent leurs vestes et s'allient finalement à Skarn. Pour couronner le tout, Spikelor me trahie et me vole des terres qui devait me revenir selon notre arrangement (Adrar et Cheliff). Peu après il me propose de lui vendre toutes mes terres sauf une et devenir son vassal en échange de ma survie. J'accepte pour gagner du temps et me prépare à la guerre. Je fortifie Zirid et y laisse mon chevalier-Seigneur. Voyant mon refus de "collaborer", Spikelor utilisera Skarn pour faire diversion et me l'enverra depuis le nord. Je trouve un arrangement à "l'amiable" avec Skarn: je lui laisse Andalusia et Grenada et nous mettons un terme à la guerre. De cette manière, je peux concentrer toutes mes forces sur Zirid pour la défendre et lui contre Calydan. Forcément Spikelor me déclare la guerre, mais n'attaque pas Zirid en voyant que celle-ci est bien protégée. Je me retrouve finalement avec trois petites provinces cerné par mes ennemis. La situation va gentiment changer avec la montée en puissance de Calydan qui va éliminer Skarn et Alphonse en Espagne. L'idée d'une trêve avec Spikelor semble être à l'ordre du jour: partant pour signer une trêve pendant un moment, hésitant plus tard, je refuse finalement après que Spikelor me propose une dernière fois une trêve en essayant de me retourner contre Calydan. Mon allié me demande mon soutien contre Spikelor, mais l'idée de sortir de mes murs ne me plaît pas du tout. Mon seul réel atout est mon chevalier-seigneur qui a une renommé tout à fait correct et ma défense, mais défier Spikelor sur ses propres terres est une toute autre histoire. J'espionne un peu les terres de Spikelor et finalement je décide d'avancer sur Cheliff afin de soutenir Calydan et en espérant que le gros des forces soient plus au nord. C'est là que tout se complique, Spikelor réussit une percée en Grenada, là où j'attendais de mes alliés qu'il ne passe pas. Impossible pour moi de revenir en arrière avec mon C-S depuis Cheliff pour défendre Morroco. Je reste en défense statique en Cheliff une saison de plus et cette fois, c'est la prise d'Andalusia... En voyant son chevalier-seigneur en Valencia et plus de 6'000 hommes en Andalusia, je décide de quitter mes terres et de marcher à l'est avec dans un premier temps une bonne saison et une dernière bien plus compliquée où je finis en Hasstalieb.

Je finis avec néanmoins un très bon chevalier-seigneur, sans doute la meilleure chose à retenir de cette campagne.

Félicitation à Calydan pour cette victoire amplement méritée!

Et bravo à Athys pour cette impressionnante remontée en force après une félonie!

Dernière modification par Wilhelm Von Hassengart (28/09/2014 19:32:37)

Princesse Saori · 28/09/2014 12:22:16

Voilà comment tout a commencé (citations en gazette italique):

Annales de la famille von Ophtéone: Présentation de Bricélia

Je me présente à vous en toute simplicité.

Je dois mon nom au Seigneur Bricec, que l'on désignait comme l'idiot du village dans les annales familiales.

Le patriarche avait hésité entre Tyrion (pour un garçon) et Bricélia (pour une femelle).

Tout cela parce que déjà toute petite, j'écrivais de longues règles sur le partage des seins de la nourrice afin de démontrer à ma soeur Saori que je pouvais bénéficier de 64% du temps d'utilisation de ses délicieuses mamelles.Cela se terminait souvent par un conflit armé et bien souvent, elle me balançait son hochet dans le visage tout en me tirant les cheveux.

De ce fait elle obtenait 100% du lait nourricier.Papa intervenait alors pour rétablir l'égalité en me donnant en grande partie raison.J'obtenais 50%, ce qui était très proche de mes prétentions originelles alors que Saori partait de 100% pour retomber à 50%.

Une victoire incroyable pour mes couleurs malgré un déficit militaire considérable.

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Il s'agissait pour mon blason de jouer d'une façon radicalement différente, une sorte d'anté-Saori.

Début:

Position en Italie qui se prête assez bien à une diplomatie amicale et difficile.

Une belle histoire d'amour se lie avec Alzgard, je ne vous en délivrerai pas les extraits mais cette histoire guidera une grande partie des choix de Bricélia même lorsque le bel Alzgard ne fera plus acte de présence.

Alliance solide avec Alzgard donc, mais aussi avec Andros, nous nous mettons d'accord sur un partage de l'Italie (il ambitionne les Iles de Corse et Sardaigne et une épopée vers l'ouest face au Seigneur Skarn qui va s'étendre de façon extraordinaire en peu de temps).

Un accord de courtoisie se lie également avec Spikelor l'Africain. Malheureusement, son antagonisme avec Andros ne permettra pas de lier de liens solides avant l'une des nombreuses infâmies qui poursuivront l'infortunée Bricélia.

L'extension est mesurée mais soutenue, je soutien avec mes moyens économiques et militaires les seigneurs Andros et Alzgard.

Chaos ambiant:

Tout s'accélère au nord, Alzgard cède face à un Montloup ingrat voire borné et un Attila surpuissant, doublé de l'opportunisme du puissant Eulenspiegel à l'est.

Bricélia décide d'entrer en guerre aux côtés de son aimé Alzgard, redoutant un Attila affamé mais qui en y regardant de plus près n'a pas la moindre chance de lutter sur plusieurs fronts.

Andros décide de trahir Bricélia pour se ranger dans la suite des vassaux du Français Calydan. Aucun motif valable. Andros ne tiendra pas le choc et sera vite limité à un rôle de spectateur inutile alors qu'en respectant son Alliance, de belles perspectives étaient possibles.

Bricélia se rabiboche alors avec Spikelor l'Africain qui part en trombe en Sardaigne, Corse, Tuscany et Provence.

Ailleurs, le Grec Athys qui jusque là s'était montré très patient, construisant de vastes réseaux économiques et un Empire conséquent en Grèce commet l'irréparable. Il s'emmèle les pinceaux et déclare des guerres à plusieurs de ses alliés. Il n'échappe pas à Bricélia qu'Athys avait préféré se diriger vers l'Italie plutôt que de s'attaquer à son voisin du nord, Eulenspiegel le cannibale qui finissait de canibaliser en traître un Montloup tout entier axé vers Bricélia et Alzgard.

Guerre Germano-Italienne et gestion du cas Athys:

Attila et Montloup se concentrent sur le front sud et abandonnent tout espoir au nord. Duncan et Nino en sont les principaux bénéficiaires.

Une lutte sans merci s'engage. Elle finira par tourner à l'avantage de Bricélia.

Mais hélas, les très nombreux chevaliers recrutés finissent tous au fin fond de la péninsule italienne alors que la douce italienne voit ses principales possessions se situer de la Slovénie à l'Angleterre.

Cela empêche toute résistance efficace en cas de conflit avec Calydan et il faudra de nombreuses saisons pour faire remonter les chevaliers au front.

Montloup est enfin défait en Italie mais non sans sacrifice. Le vil Spikelor a en effet monté le bonheur de ses terres limitrophes à l'extrême, empêchant un recrutement efficace.

Bricélia décide de laisser Athys en paix, il n'y aura pas de gloire à s'emparer de la Grèce d'autant qu'Eulenspiegel n'a pas été gentleman avec le Grec.

Eulenspiegel est à son tour absent, ce qui permet à Athys de redresser la pente.

Epilogue:

Il était possible d'arrêter Calydan à condition de piller les terres de Bricélia et de féloniser Spikelor qui jouait un double jeu écoeurant mais ce n'était pas la volonté de Bricélia.

Le Français s'impose non sans avoir dû affronter Marie Stuart et Duncan.

Il mérite la couronne plus que quiconque et Bricélia s'agenouille bien volontiers devant son nouveau suzerain.

Longue vie à Calydan, Empereur d'Europe!!!

Dernière modification par Princesse Saori (28/09/2014 21:43:10)

Duc de Navarre · 28/09/2014 14:27:32

Je vais faire un résumé après mais je tiens à vous montrer quelque chose tout de suite :

Calydan (157100003) reçoit l'ordre d'attaquer CORNWALL depuis NORMANDY.Calydan (157100003) est confronté à l'armée 157118009 de 34059 hommes commandée par Marie Stuart (157100005).
Forces en présence :
Calydan (157100003) : 16432 hommesMarie Stuart (157100005) : 34059 hommes

Calydan (157100003) a perdu 16421 hommes au cours de la bataille.
Marie Stuart (157100005) a perdu 17171 hommes au cours de la bataille.
Calydan (157100003) ordonne à ses hommes de se replier.
Marie Stuart (157100005) a vaincu. Il gagne 162 en renommée.

11 hommes. C'est ce qui a séparé Calydan de la destruction totale. Je retourne pleurer et je reviens pour vous raconter ma partie.

Princesse Saori · 28/09/2014 18:27:20

@Marie Stuart: Ah oui, quand même...

de Saint Aignan · 28/09/2014 19:05:41

@Marie Stuart: A quoi tiennent les destins...!?

Guronce de Lix · 29/09/2014 08:58:53

Bravo à Calydan !

Je ferai mon résumé bientôt moi aussi (à la fois ma courte participation initiale, puis ma régence de Duc de Navarre).

Guronce de Lix · 19/01/2015 19:27:22

Cette campagne fut assez originale, au sens où j’ai été successivement en position de grand favori, puis ai perdu lamentablement cette partie « imperdable » avant de venir remplacer… celui qui m’avait éliminé !

Voici donc (avec beaucoup de retard) le débriefing :

Tour 1 :

Partie atypique avec une Euro à vingt seulement. J’espère qu’il n’y ait pas trop d’ONR sinon la partie n’aura pas grand intérêt.
Ma position de départ en Dyffed avec un seul autre seigneur en Angleterre est très bonne.

Ma saison 1 :

La principale question pour moi, c’est celle du Duc de Navarre. Il faut dire que notre position est faite exprès pour que nous soyons ennemis, il n’a pratiquement aucune possibilité d’expansion pour lui sans me rouler dessus. Première tentative de contact diplomatique quand même pour créer une alliance anglaise avec lui, sans réponse de sa part après plusieurs jours. En plus nous avons déjà été en situation d’affrontement par le passé (EURO179) ce qui ne va pas arranger les choses…
Bref, très vite je me rends compte qu’il y aura un duel à mort entre nous, et j’oriente ma politique là-dessus. L’avantage c’est que, si je gagne, j’aurai une base territoriale suffisante pour mener une politique diplomatico-économique dans la lignée du RP que j’ai choisi. « Y a plus qu’à » battre le Duc de Navarre.
Pour ce faire, je sécurise l’alliance avec Calydan et Paquita, avec un engagement clair : notre frontière est sur la Manche, et je n’irai pas au-delà, ce qui me laissera quand même une base économique hyper-solide de 15 terres avec 3 issues seulement.
Pour préparer la guerre contre le Duc de Navarre, je recherche un maximum d’alliances pour monter ma renommée, et je vais en Mercia avec un classique développement IMP 4 RED max. Je n’organise pas de joute au premier tour, reste à espérer que Duc de Navarre ne sortira pas vainqueur d’une joute de tour 1 ! En termes de position, Man n’a que trois provinces voisines, et Dyffed quatre, c’est un énorme avantage pour le tour 3, si les tours 1 et 2 se passent bien…
La victoire dans notre duel se jouera sur trois facteurs :
- si je réussis à le devancer sensiblement en renommée par le nombre d’alliances signées au tour 1
- s’il n’est pas boosté en renommée personnelle par une victoire en joute de tour 1,
- et bien sûr si Attila ou Calydan ne m’attaque pas par derrière !
Par rapport à ses actions à lui, j’anticipe de sa part un mouvement en Lancashire, auquel cas si tout se passe bien je l’affronterai personnellement en Gwyned, Mercia ou Northumbria au tour suivant. S’il se dérobe en passant par l’Irlande il faudra aviser. Un mouvement de sa part en Lothian est également possible, qui conduira à un combat en Northumbria ou vraisemblablement Lancashire. Mais bon nous verrons bien, chaque chose en son temps.
Voilà, le moment est venu de rendre les ordres…. Alea jacta est.

Tour 2 :

Découverte de la Résolution :

Bon ça s’est plutôt bien passé.

Le plus important, c’est que le pacte à trois avec Attila et Calydan a été parfaitement respecté. Notre alliance est signée, chacun est allé dans la bonne direction donc je n’aurai pas de problème pour occuper la Grande-Bretagne si je bats le Duc de Navarre bien sûr – enfin, Marie Stuart puisqu’il a renommé son CS.
De ce point de vue aussi tout va bien, il n’est qu’à 169 de renommée et moi à 241, grâce au nombre d’alliances passées alors que lui n’en a passées aucune. Nos CS sont tous les deux à 106 (ouf il n’a pas gagné de joute de tour 1 !).
Par ailleurs, mon tirage de chevaliers est bon, j’ai un 79 (qui ira se battre en Irlande), un 56 et un 55 pour occuper Gwynned et Wessex. Les deux autres sont des billes, donc malheureusement je n’aurai pas de chevalier-support en Munster avec mon 79, mais bon à chaque tour suffit sa peine…

Ma saison 2 :

Au niveau de la stratégie, rien de nouveau, la carte est exactement celle que j’attendais.
Sur le papier, la guerre d’Angleterre est gagnée : le Duc de Navarre ne peut pas l’emporter.
Sauf que...

Sauf que je vais commettre une énorme erreur : sous-estimer l’adversaire. Et aussi vouloir brûler les étapes en levant déjà cinq chevaliers de plus pour préparer la suite de la campagne.
Bref, je ne le sais pas encore, mais ma partie gagnée sur le papier est en train de partir en vrille vers la mort et la déchéance.

Tour 3 et suivants :
Découverte de la carte :
Gros moment de solitude et première réaction : JE SUIS UNE GROSSE BUSE… Car je viens de me faire battre à plates coutures par Mary Stuart alors que tous les feux étaient au vert pour moi ! Cette levée de 5 chevaliers se retourne contre moi.
Bon, passé un premier moment de regret, je me dis qu’il faut repartir à l’assaut : la valeur d’un seigneur se mesure à la manière dont il affronte l’adversité. Et puis, l’erreur que j’ai commise, Mary Stuart peut la commettre à son tour.
Malheureusement, le Duc de Navarre (Mary Stuart) ne fait aucune erreur. Bien pire, je me retrouve rapidement après trahi par Attila – mais bon, soyons honnête, cette trahison ne fait que m’achever plus vite, le duel avait de toutes façons été perdu.
Au bout de quelques saisons, je finis par mourir au combat face à une grosse concentration de troupes d’Attila. Sic transit gloria mundis…

Temps 2 : La Résurrection (réincarnation en Marie Stuart) :

Ironie de l’histoire, arrive l’été et le départ en vacance du Duc de Navarre qui me demande de le remplacer : je vais donc devoir assurer la campagne de celui-là même qui m’a proprement et bellement battu.
Mais qu’à cela ne tienne : je pars pour une reconstruction, et me conforme aux instructions de Mary Stuart : loyauté à l’égard d’Attila, préparer la guerre contre Calydan.
Je m’acquitterai au mieux de cette mission et, trois ou quatre saisons plus tard, je déclenche l’offensive contre ce seigneur pile poil pour le retour aux commandes de Mary Stuart. La position est plutôt bonne et Calydan a ses chevaliers loin du front. Bref, tous les espoirs sont permis… Mais bon il faut croire que Calydan a su résister, puisqu’au final l’offensive prévue aura été bloquée.

Duc de Navarre · 19/01/2015 20:50:44

J'en profite pour écrire un rapide CR que j'avais promis et jamais écris...

Je ne vais pas répéter ce qu'a déjà dit Guronce, nous commençons tous les deux en Angleterre, une guerre éclate rapdiement et je parviens à le battre peu à peu tout en m'alliant à Calydan et James/Attila, mes deux voisins continentaux.
Je pars pour 4 semaines et Guronce me remplace, je lui laisse les mains libres diplomatiquement et il décide de rester allié à Attila et de déclarer la guerre à Calydan qui est en train de grossir très vite.

Lorsque je reviens (tour 12 à peu près), Ponthieu et Normandy sont à moi, mes chevaliers sont bien placés mais Calydan est plus renommé et avec un très bon chevalier en Ile de France, m'empêchant d'attaquer son centre de recrutement. S'ensuivent 8 tours de guerres très longue où je ne parviens pas à percer réellement. J'ai pris quelques terres par ci par là mais globalement Calydan avait plus de capacités et m'a forcé à reculer peu à peu. Je pense que s'il n'y avait pas eu le changement avec Guronce il aurait probablement pu mieux gérer que moi vu qu'il avait préparé cette guerre. De mon côté je n'ai, par exemple, jamais beaucoup cherché les chevaliers de Calydan.

Calydan qui était aussi en guerre avec Skarn et Spikelor au sud tue Skarn très rapidement, lui ouvrant complètement l'Espagne et lui permettant de concentrer presque l'intégralité de ses forces au nord. Les estiens (Duncan/Bricelia/Nino) sont aux prises avec Attila puis Eulespiegel. Lorsque Spikelor lance son appel aux alliés pour qu'ils essayent d'attaquer Calydan à leur tour c'est trop tard. Ils se font détruire à leur tour.

Bref, une campagne chaotique qui se finit sur le combat que j'ai indiqué plus haut. J'ai commencé la partie pendant mes révisions donc avec peu de temps et cela a continué pendant les partiels puis vacances. La période de stage où j'étais absent n'a rien arrangé.

Je tiens quand même à féliciter Calydan qui a très bien gérer sa campagne surtout au niveau militaire.

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#1 27/09/2014 21:43:50