Ce récit est le journal que je voulais tenir saison par saison. J'ai tenu deux saisons...
En voici la copie, non modifiée.
Je suis donc linitiateur de cette première Chasse, « Doigt ». Dans labsolu, jai un peu la pression, mais pas trop. Mourir trop vite ternirait mon prestige, mais mourir avant la fin ne devrait pas être déshonorant non plus, en fait je nai aucune idée de comment va se dérouler la partie, ni de ce que je vais faire.
Tour 1 : première surprise, Filve a usurpé mon Nom est se retrouve en Epire, terre dont je devais hériter. Je démarre en Lausatia, avec dimmenses étendues libres de toute occupation devant moi. Devant cette situation, je décide de lever linterdiction faite aux chasseurs de me déclarer la guerre avant le tour 3. Je suis entouré par Rand (en Prusse), mon plus proche voisin, Elad en Pinsk, Malakai (même sil est très loin) , Wallace (tiens donc) en Slovénia, Zoulou en languedoc mais très loin aussi, Kamil en Vermandois.
Si jassure vraiment le coup, jévite tout combat (impliquant mon chevalier seigneur) jusquà la 5ème saison incluse.
Je décide daller vers le sud ouest, en Thuringa, en ayant à lesprit léventualité dune percée dans cette direction.
Mon objectif est de faire se rencontrer le plus de chasseurs possible pour quils se battent entre eux.
Jai peu de contacts, hormis avec Shaidar ( que japprécie) et Bricec (que japprécie aussi, mais différemment, disons que je men méfie même si le ton de ses messages est gratifiant pour mon ego).
En fait, jai peu envie daller dans la direction du trio Elad-Malakai-Wallace
Je décide de piller ma terre et de recruter un maximum pour annexer le plus de terres la saison prochaine, en espérant toucher des chevaliers potables.
Tour 2 : Excellent tirage de chevaliers, 4 sont capables de conquérir des terres, et trois sont très bons et feront de bons combattants. Je suis certain dobtenir 5 terres cette saison, soit 7 au total. 6 terres pillées me donneront 27000 écus environ, de quoi voir venir, même si je sais que je ne pourrai pas résister à tout le monde.
Autres bonnes nouvelles : Rand ne ma pas déclaré la guerre et se trouve bloqué par le risque de félonie (je gagne deux terres sur lui), et Kamil a raté sa première annexion de terre et reste en Vermandois. Je peux donc me diriger en Alsace sans crainte. En projection, au tour 3, jaurai 7 terres et jattaquerai Pomern, Friesland, Wesphalia (avec mon chevalier seigneur) et Bohemia sans risque de contact. Mais je perdrai probablement Pomerania et Kauyavia prises par Rand, mais jaurai pillé avant.
Selon toute probabilité, Wallace va se diriger en Bavaria, afin de me couper la route éventuellement en Swabia.
Elad devrait se retrouver En Bochnia puis en Moravia.
Kamil en Hainaut
Déjà létau se resserre, je le visualise. Je commence à faire appel aux seigneurs éloignés, en leur faisant comprendre (si ce nétait pas déjà compris), que leur intérêt est que le premier rideau de chasseurs (Rand-Elad-Wallace-Kamil) ne parvienne pas à me tuer avant quils narrivent sur zone. Ce discours sadresse en priorité aux chasseurs de la 2ème vague : Malakai, Filve, Universe. Je tente déjà de les retourner vers Wallace (désolé, lhistoire se répète, mais bon
). Les premiers échos sont plutôt bons.
Les contacts les plus prometteurs sont avec Shaidar et Bricec. Je ne parle pas de Goldfinger, il est toujours un peu à part 
Bricec surtout me propose un échange de terres et de généraliser ces opérations avec dautres seigneurs, dune part pour bloquer mes assaillants, dautre part pour moffrir des refuges loin des combats. Javais déjà pensé à cette stratégie, mais je ne suis pas fan. Va pour léchange lausatia-Merrakeh, mais pour le reste
Bricec est un peu trop pressant, ou directif, ou je ne sais quoi. Et trop flagorneur aussi, ça minspire méfiance, tant et si bien que jenvisage de retourner ma diplomatie dans le secteur pour soutenir Korn. Mais Bricec revient vers moi en minvitant à une joute particulière, et pour quelques autres raisons plus ou moins évidentes, je décide de le suivre encore. Je vais devoir gérer le cas de Korn à qui jai donné de faux espoirs.. pour le moment.
Ma stratégie se met en place, il se peut que je sois dans les premiers au niveau de la renommée globale à la fin de la saison, nous verrons bien. Je ne peux encore raisonner à plus long terme que deux ou trois tours. Universe mindique quil va annuler son alliance avec Wallace, cest un bon début.
(...)
La suite sera plus synthétique et surtout rédigée après coup.
Répondre à ce message
Re:
Auteur: de Saint Aignan
Date: 09 11 2009 22:22
Point de départ : Sicile. Déjà, cest pas terrible comme terre de départ. Avec le départ du gibier en Lausatia, ma campagne se termine avant davoir commencé : je nai aucune chance datteindre Orcrist en 12 tours (sauf à ce quil fonce vers moi).
[Remarque n°1 : prochaine chasse : pas en Europe : trop grand : la moitié des concurrents sont hors-jeu dentrée]
Ma motivation est compromise. Ma première mission sera de juste sécuriser un espace vital pour atteindre une taille critique afin de
. ben chai pas. On verra bien. Mes marges de progression militaire étant des plus ténues, il me faut reposer sur la persuasion diplomatique
I. Départ
Au sud ouest, lafricain Spikelor fait une offre raisonnable qui me laisse un passage vers le sud, aux antipodes de la cible (mais comme je ne puis atteindre cette dernière
). Au Nord, Universe vient avec un package : sud Italie + pourcentage sur son avance contre paix + alliance. Je signe. Reste le faux Orcrist dEpire. Je fais mouvement vers lui avec méfiance.
II. Sécurisation
Finalement, les choses se passent bien. Je sécurise mon espace vital au nord (Filve/Orcrist part vers les Balkans sans venir me gêner en Italie comme il aurait pu). Avec un brin dinsistance, Universe applique ses accords et me donne la Suisse. Et Spikelor respecte sa part de marché. Je me distraie en marchant contre le Lybien Elzear (qui disparaîtra du circuit rapidement). La configuration des lieux mempêche de progresser rapidement et le turc Goldfinger viendra me bloquer en Lybie.
III. Léthargie
[entre temps japprendrai le 11 septembre que je change de boulot et de site le 1er octobre. Ca naide pas]. Quelques tours passent où je recrute du chevalier à la tonne et organise quelques joutes. Sans plus. Orcrist part vers lAngleterre. Je nai aucun objectif, si ce nest de ne pas servir de proie à quelque rapace.
IV. Réveil
Jobserve non seulement quOrcrist en massant toutes ses forces avance sans grand difficulté vers où il veut mais en plus plusieurs « chasseurs » se battent entre eux, sans liaison claire avec la chasse. Quand ils ne cèdent carrément pas des terres à lEnnemi !?
Universe rompt son alliance avec moi sans motif (je suis à lopposé de sa progression supposée contre Orcrist) .
Je tente un réveil diplomatique des chasseurs en les incitant à coopérer. Je ne place pas beaucoup despoir dans cette opération (pourquoi tout dun coup tout le monde sentendrait ?) mais jespère que mon statut de (pseudo) chevalier blanc et pur retardera la déclaration de guerre dUniverse. Je gagne ainsi une saison.
V. Lhallali
Espérant que mon front restera calme, je peux mengager (tardivement) dans une guerre contre celui qui fut lallié dOrcrist depuis le début (il y en a eu dautres mais un seul à la fois) et contribue ainsi modestement à la chasse. Goldfinger tire parti de cette guerre pour entrer en guerre contre moi (il a au moins lhonnêteté de prévenir). Et Universe sengouffre dans la brèche. Spikelor qui devait me soutenir contre Goldfinger se retrouve allié à Universe (et nest plus le mien). Janticipe une agression de sa part (dautant que comme par hasard son chevalier principal sest approché de ma frontière).
Il me reste à tenter le tout pour le tout : félonie contre Spikelor tant quil est temps en essayant de lassassiner et combats retardateurs contre Universe et Goldfinger.
Au final, je préserve mon royaume, sans grande satisfaction.
Je mattendais évidemment à un peu de zizanie parmi les chasseurs comptant sur la nature humaine et le célèbre pouvoir hypnotique du Serpent. Mais javoue que de voir plusieurs stratégies solitaires même pas tournées contre Orcrist ma profondément déçu. Cela plus limpossibilité de filer deux ou trois coups de canifs à lhomme au doigt dressé.
Encore merci à Orcrist davoir pris sur lui pour organiser cette quête originale même si dans mon contexte personnel je nen ai pas tiré beaucoup de plaisir.
Athys de Sicile
Répondre à ce message
suite et fin
Auteur: Orcrist
Date: 19 11 2009 17:29
Saison 3 : Plutôt pas mal. Contre toute attente, Rand le Tueur se félonise sur moi. Je ne lai même pas fait exprès, il ny avait aucun piège, la félonie était évidente sil attaquait, je nai toujours pas compris... mais cest une aubaine dont je compte bien profiter. Rand était le plus menaçant, partant dun bord de carte et pouvant projeter toutes ses forces et ses excellents chevaliers sur moi : premier soulagement.
Je suis très bien renommé, riche, bons chevaliers. Léchange de terres seffectue mais mon alliance avec Bricec est brisée, je suis presque coupé en deux.
Je pressens une alliance entre Elad, Malakai et Wallace, et je décide définitivement de partir plein Ouest, en esquivant le choc avec Wallace.
Mais jai très peu dalliés, et surtout les seigneurs du deuxième rideau, au mieux restent neutres, au pire sallient avec mes adversaires directs de la première vague.
Jai quelques contacts avec Korn et Bricec, et aussi (hors catégorie) avec Goldfinger.
Deux ou trois saisons suivantes : Wallace et Elad foncent et convergent vers moi, Malakai a du mal à suivre, jattends désespérément que Filve et Universe les prennent à revers, mais rien ne vient. Je profite du temps mis par mes ennemis de lEst et du sud pour arriver, afin dappeler encore quelques chevaliers, lever des armées (bénéficiant de la meilleure renommée), et fuir les combats.
Kamil nest pas en forme et ne me menace pas. Je parviens à plus de 15 terres, ce qui était inespéré.
Jobserve avec crainte les seigneurs du sud-sud ouest sorganiser (Ethan, Korn, Spikelor, Athys...), alors que Bricec disparaît prématurément. Véran grossit, et la Grande Bretagne semble encore ravagé par les conflits locaux. Jhésite un moment entre partir en plein centre des terres de Veran, ou alors partir dans les îles, le plus haut possible.
Lobjectif est de fuir les forces coalisées du sud, alors que de lEst, Malakai déserte alors quil vient, enfin, de déclarer la guerre à Wallace et Elad. LUsurpateur de même déclare la guerre à Wallace... avant de déserter, comme Wallace. Et voilà Elad seul (Rand ne compte plus) avec des étendues territoriales extraordinaires, pas menacées, et surtout riches (les terres de Malakaï). Seul Goldfinger tente de remonter et entre en conflit avec Elad, mais il est bien trop tard pour stopper celui-ci.
Je me rends à lévidence : si je retourne vers Elad je suis mort, si je vais au sud je suis mort, si je vais à louest, ceux du Sud conjugués à Véran mauront... reste les îles. Dès la saison 3 ou 4, je décide de me balader avec une grosse armée sous mon commandement personnel, et de charger mes chevaliers dune guerre de harcèlement, avec des effectifs moindres. Je compte sur le nombre pour passer entre les mailles du filet et tenir quelques territoires à larrière des lignes ennemies.
Cette tactique fonctionne tant que ma renommée globale est élevée, mais au fur et à mesure des pillages de mes terres et des déclarations de guerre subies ou déclarées, ma tactique doit changer. Mes adversaires (même Véran) pouvant faire des défenses-attaques avec leurs chevaliers, échapper aux combats frontaux sannoncent impossible. Et je sais quà la première grande bataille, je ne pourrai reformer mon armée.
Lausatia, Thuringa, Alsace, Westphalia, Lorraine... un échange de terres avec Spikelor seffectue, mais à nouveau, mon alliance avec lui saute et voilà la Holland, porte dentrée vers les îles, inaccessible.
Vermandois, Ponthieu...me voilà prêt à débarquer. Je suis au contact de Véran, nous sommes à peur près de renommée égale, mais son potentiel est plus important. Tant que je suis plus renommé que lui, je peux faire mal, mais si ça sinverse, je suis mal. Il faut que je sorte de cet endroit..
Rand me contacte, je profite de loccasion pour tenter un truc énorme, comme ça, à linstinct : la félonie dElad. Ca marche ! (cf récit précédent). Même si jexclus de revenir sur mes pas (pas le temps), cela me donne une bouffée doxygène car je sais que je pourrai conserver des terres dans le secteur pendant quelques temps (toute la bande nord). Dautres chevaliers sont descendus jusquà la ligne Nivernais, Swabia, Bavaria, Austria, et remontent maintenant pour tenir au moins une terre au nord est.
Mon objectif, à présent : débarquer avec 10 000 hommes et le chevalier seigneur le plus renommé de Doigt, et tenir au nord est, au moins une terre à la douzième saison, au cas où mon combat dans les îles me verrait défait.
Sussex est espionné, pas fortifié, un chevalier avec 1 000 hommes : première surprise, mes deux adversaires Parcifal et Shaidar Haran ne se sont pas organisés pour mattendre. La faute à Xorf ou au manque de communication ? Je mattendais au moins à une enceinte fortifiée en Sussex, et sans surprise je débarque. Le meilleur chevalier de Parcifal mattendait avec 1 000 hommes, il meurt lors du premier assaut, je ne comprend pas bien la tactique des insulaires. Mes autres espionnages futurs ne fonctionnent pas, donc je pars à laveuglette, avec lambition daller le plus loin possible. Mais je vois déjà par lanalyse des communs que les meilleurs chevaliers de mes adversaires, qui ne dépassent pas 110 de renommée (je suis à 200), sont au sud de lAngleterre.
Je me dis que sauf erreur monumentale, je devrai survivre.
Aux alentours de la saison 9, Elad, affaibli par sa félonie, meurt par lassaut des armées dUniverse. Cette disparition implique, au vu de la position de mes adversaires, que je conserverai au moins une terre, Pomérania.
La victoire est là, je sais que je nai quà donner un ordre de repli à 1% à mon chevalier seigneur pour fuir le combat et être rapatrié en Pomérania. Je savoure, mais je veux mettre encore un peu de panache, et continuer mon périple britannique.
La résistance sorganise enfin, des ventes de terres à des seigneurs neutres envers moi (il y en a plus beaucoup, seulement Korn et Goldfinger, sont organisées) pour certainement me guider vers un endroit où des armées peuvent mattendre, mais heureusement la vente à Goldfinger rate. Je finis de déclarer la guerre à tout le monde. Je souhaite que Lug passe par le sud de lIrlande mais il est bloqué...
Je vois de grosses sommes emplir les caisses de Parcifal. Shaidar quant à lui avait patiemment économisé plus de 100 000 écus, mais après calcul, nayant au mieux quun chevalier à 50 de renommée à mopposer, et sil pille toutes ses terres, 150 000 écus ne lui donnent que 15 000 hommes à opposer à mes 15 000 hommes dirigés par mon chevalier seigneur. Pareil (grosso modo) pour Parcifal.
Mercia, Lancashire, Man...
Je sais quà la dernière saison, je resterai en possession de Prussia, Danzig, Pomerania, Pomern et Holstein.
Je lance un dernier assaut vers lUlster, avec repli à 10 000 hommes...
Et voilà, je finis mon parcours de chasseur traqué en Ulster, étant parti de Lausatia, avec 8 terres.
Mes choix stratégiques principaux ont été :
- récupérer le plus de terres possible dentrée (ce qui a été permis par mon placement plus que favorable), au besoin en recrutant de nombreux chevaliers (12), pour financer une grande armée mise sous mon commandement.
- retarder au maximum le pillage de mes terres (uniquement quand je décidais de ne pas défendre), pour financer une campagne solitaire de longue haleine et rester le plus longtemps possible avec une forte renommée globale.
- éviter les combats frontaux entre mon chevalier seigneur et mes adversaires pour conserver mon armée principale et létoffer.
- toujours rester en mouvement, ne jamais être bloqué par un allié ou un adversaire. Cest la raison de nombreuses guerres déclarées qui en ont surpris plus dun (y compris moi, parfois, dans leurs conséquences sur les annulations dalliances).
- trouver un juste équilibre, à partir de la saison 5, entre augmenter la taille de mon armée principale (pour assurer ma survie au combat), et financer la guérilla menée par mes autres chevaliers, au sud (Talion, Nemesis), au nord-est (Malleus et dautres), et autour de moi (Lug, Coupeur de Citrons), pour massurer un lieu de retraite.
Au final, je finis relativement confortablement, mais cest vraiment un type de campagne stressant (et il men faut pour me stresser), ou lon est isolé du début à la fin.
Chaque saison a vu 7 ou 8 attaques lancées, on approche de la centaine sur la totalité de la campagne, ce qui est énorme, et ma fait, je crois, progresser en ce domaine :-)
Mon placement initial ma beaucoup favorisé, jai conscience que si javais démarré en Epire comme je le souhaitais (et sans la blague de Filve lUsurpateur), mes chances auraient été bien moindres. Cela aurait été une toute autre partie, on ne peut pas savoir...
Certains pensent que les chasseurs auraient dû mieux sorganiser, je ne suis pas de cet avis, sauf pour les îles britanniques. En effet, sincèrement, je pense que des guerres auraient dû être déclarées beaucoup plus tôt à certains seigneurs du premier rideau...
Jestime que les défaillances de malakaï, Wallace et Filve mont plus desservi quautre chose, car cela a favorisé lémergence dun seigneur innarêtable (Elad).. En tous cas par des moyens conventionnels. Je me souviens de Spikelor qui me demande, vers la fin, si je nai pas un tour dans mon sac pour le stopper, je lui réponds bien évidemment que non... cétait avant que Rand ne me contacte.
Un mot enfin pour Goldfinger, il joue toujours son rôle plein dambiguité à la perfection...
Répondre à ce message
Re:
Auteur: Orcrist
Date: 19 11 2009 17:36
L'ordre de repli aurait été bien évidemment à 99%, non à 1%.. j'avais aussi envisagé, de façon plus radicale, de démobiliser toute l'armée mise sous mon commandement (aucun risque d'un quelconque combat et rapatriement automatique sur une terre sécurisée), mais comme je l'ai déjà expliqué, je voulais symboliquement aller le plus loin possible dans mon périple et combattre encore, même si le risque d'être défait, et surtout mortellement défait, était, avouons le, très mince dès le moment où je suis arrivé en Mercia avec les gros chevaliers adverses derrière moi.