Les tambours grondaient depuis 10 jours, les Pictes des Faroes d'Hervé avaient débarqués.
Ils avaient pillés et violés indifféremment, jeunes et vielles, garçons ou filles.
4 hommes sur 10 avaient été eventré et pendu à un pieu, les autres avaient été emmenés pour être vendus comme esclave, à Lothar certainement.
Sagramor ne pouvait supporter l'idée de voir de francs viking ainsi violentés.
Son armée n'était pas aussi grande que celle de l'envahisseur d'un territoire en paix, se cherchant un bon Seigneur.
Il mobilisa alors l'ensemble de sa garde, de ses vassaux, de ces rudes montagnards que Kalan avait mùis à sa disposition, et il franchit la frontière d'Hordaland.
Trouver les Pictes ne fut pas difficile, il suffisait de se diriger vers les colonnes de fumées, des villages et récoltes incendiés.
Il les trouva, plus de 1800 hommes en rang, motié nu, le corps peint, hurlant et gesticulant, qui les attendaient.
Son armée était bien plus petite, avec preès de 1300 guerriers, la valeur des chefs était identique, et le combat s'annoncait désespéré. Mais la vue des corps de pauves gens, mort et torturés, le cri de ces malheureux insufflait la rage au coeur des combattants Norge, alors qu'ils se mettaient sur 4 lignes, dans un mur de boucliers, solide, mais insuffisant.
Leur bras ne trembla pas lorsque la première vague de guerriers se jeta sur eux.
Les corps s'enchevétrairent, les lances se brisèrent, les glaives éclataient les boucliers des 2 cotés.
Par cinq fois l'assaut fut repoussé, avec des pertes, trop de pertes, laissant Sagramor et les siens à un contre trois.
D'un geste, Sagramor, ruisselant du sang de ses adversaires, ayant plus de 50 fois privé de vie des pictes ambitieux, leva son bras et son épée, brandit de l'autre main son étendard, et cria : För vår frihet.
Le restant de son armée, encore debout, lui répondit, et lance levée se mis en route.
Les pictes stupéfait ne comprirent pas, car la victoire dxévait être à eux! Les Vikings devaient fuir, c'était sûr! Jamais, non jamais on leur avait résisté ainsi!
Alors que les fiers guerriers en armures se mirent à courir, ils reculèrent, d'un pas, puis de deux, malgrè les commandements des chefs de clans, puis, alors que la première vague chargeant arriva sur eux, ils lachèrent prise et s'enfuirent de cette terre rougie du sang de 900 Norgegiens et de 400 Iliens.
Hervé essaya courageusement de les retenir, mais ne pu que suivre le mouvement inexorable de ses combattants, perdus et effrayés.
Epuisés, les hommes de Sagramor s'arrétèrent lorsque le dernier Picte eu franchi la crète de la colline au nord de Bryygen, regardant l'armée défaite remonter dans ses bateaux et repartir pour les Shetlands.
La Terre de Hordaland n'était plus souillée, et ne le sera plus. Les morts pouraient reposer en Paix.
Mais la Guerre n'était pas encore terminée.
Tant qu'à Faire, Faire le Mieux
Så länge att göra, göra det bästa
ho guégrapha guégrapha
Maison Sagramor